dimanche 27 mai 2018

La fête des voisins

Elle est venue, elle a vécu, elle a vaincu...l'inertie de nos résidents à l'approche de la fête des Mères !
Le temps s'était fait idyllique, sans vent, et la soirée douce a pu se prolonger sur la terrasse jusqu'à 22 h 30.
Amélie avait prévu un fond sonore discret de musique classique depuis la sonate au clair de lune jusqu'à l'été des saisons de Vivaldi en passant par un peu de clavecin bien tempéré...Faute de flûtes, on a eu des perles!
Juste ce qu'il fallait pour nourrir notre nostalgie,s'agissant de nos disparus, je pense à ce cher M.Nègre-Beuchat, dont la femme était présente.
Le conseil syndical fut représenté par M.Pantanella et Madame Roux accompagnés de leurs conjoints.
Malheureusement, plusieurs habituées, dont Madame Kineider ne nous ont pas rejoints. Mais des nouveaux sont prêts à prendre la relève
Nous avions tout de même au moins deux nonagénaires d'attaque Je vous laisse deviner lesquelles....
Je terminerai par les indispensables  que sont la toujours souriante Amélie, la responsable des achats Madame Scarsi avec Alain, le grand maître de la sangria !
Une mention spéciale pour Michelle qui a prévu un bouquet de superbes roses à distribuer aux dames en fin de soirée.
Enfin le prix de gastronomie du buffet est attribué aux petits feuilletés tout chauds présentés dans un élégant panier rustique facile à faire circuler.Mais les gougères et bien d'autres délicatesses n'ont pas démérité.
Je n'ai pas beaucoup de photos à présenter, ayant dû au cours de la soirée surveiller discrètement ma soeur émoustillée par la sangria!
















2 commentaires:

  1. Chère edith,
    À l'occasion passez le bonjour à Madame Roux et à son mari que j'ai bien connus à l'époque où j'habitais au Marie Christine....mon frère et moi étions inséparables avec leurs enfants, jusqu'en vacances en corse et ces inoubliables moments à pallombaggia...
    Et pour la petite histoire Monsieur Roux m'avait même recousu une oreille abimee par leur chien de l'epoque ������
    Lionel ballet

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  2. Cher ex-résident du Marie-Christine,
    C'est toujours une joie de lire un commentaire justifiant l'existence de ce blog longtemps resté confidentiel! Je ne manquerai pas de transmettre ces détails précieux, mon père, lui, avait recousu une langue!

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