A l'orée de sa centième année, nous avons la satisfaction de l'avoir gardée presque jusqu'au bout chez elle, entourée de ses chers enfants et de ses non moins indispensables livres, mais toujours attentive à chacun de ses nombreux descendants.
On ne la verra plus parcourir le parc qu'elle aimait tant, appuyée sur ses deux cannes.
Je lui dédie ces quelques roses juste écloses et si parfumées. Et je ne résiste pas au plaisir d'y joindre Aurore et Anatole, ses deux arrière-arrière petits-enfants qu'elle ne cessait d'évoquer...
Anatole |
Aurore |